Après des études de droit et de sciences politiques, Jane Puylagarde s’oriente vers le stylisme et crée sa propre marque de prêt à porter, faisant partie des jeunes créateurs prometteurs des années 80.
Au début des années 90, lors d’un voyage au Mexique, elle fait une rencontre décisive avec une céramiste indienne qui peignait de petites gouttes de peinture formant des cercles. Le miracle des gouttes venait d’agir sur Jane qui, pendant des années, s’approprie ce geste et le réinvente en développant un art et une technique unique.
Comment l’infiniment petit et l’infiniment grand peuvent-ils se concilier ?
Depuis les années 2000, ses œuvres sont remarquées dans des expositions à Paris, Barcelone et Genève.
Quelques années plus tard, un tournant décisif intervient avec les réseaux sociaux qui lui apportent une visibilité la propulsant sur la scène internationale. Ses œuvres sont alors achetées et promues par de grands collectionneurs, designers et institutions au-delà des frontières, notamment aux États-Unis, au Japon et en Russie.
Aujourd’hui, l’artiste poursuit son chemin artistique dans ses ateliers, à Paris et Formentera pendant que ses œuvres ornent les plus beaux espaces privés et publics de sa clientèle internationale.
Que ses œuvres voyagent dans le monde entier est bien naturel puisqu’elles aspirent précisément à une liberté sans frontières.
Avec ses dernières séries, Jane Puylagarde continue de développer sa technique et de prouver que l’ultime challenge pour un artiste est le pouvoir de la réinvention.